Hypnose et thérapies brèves

Soyez bien, simplement

Étiquette : confiance

C’est l’été, retrouvez votre liberté intérieure!

C’est l’été ! Cette période de l’année que l’on attend, parfois avec impatience. On la voudrait insouciante, malgré un contexte encore un peu morose.

L’été est aussi synonyme de pause. Les longues journées, l’ouverture vers l’extérieur, le soleil améliorent l’humeur, nous modifient un peu…

C’est un bon moment pour se retrouver avec soi-même, pour aller chercher au fond de soi des facettes qui ne se sont pas encore exprimées… peut-être de nouveaux centres d’intérêt, une qualité de soi que l’on a envie d’explorer… ou prendre simplement, la décision d’aller bien, de repartir sur de bonnes bases.

C’est le moment d’accroitre nos capacités de changement qui sont immenses mais que l’on ignore bien souvent.

Je vous propose un voyage sans train voiture ni avion,  à la rencontre de votre moi profond, comme un coffre au trésor que l’on ouvre pour y découvrir des merveilles

Bel été

Reporter au lendemain ce qu’on pourrait faire le jour même? Cessez donc de procrastiner!

J’ai d’abord hésité sur le titre de cet article. En thérapie brève, hypnose, PNL, on définit un objectif de façon positive. Le titre aurait pu être: « agir enfin », mais cela me paraissait trop vague. Et puis je croise tellement de procrastinateurs en souffrance, ce mal est tellement répandu qu’il m’a semblé utile et urgent de vous en parler, sans remettre à demain 😉

Ah…,la procrastination : remettre au lendemain ce que nous pourrions faire le jour même, au bénéfice d’une action plus agréable -pas forcément urgente ni importante mais qui apporte une satisfaction immédiate et facile (plaisir=endorphines bien sûr)

C’est plus amusant de surfer ses chaines YT préférées, de se lancer dans un puzzle-game sur son smartphone ou encore de regarder la saison 7 de Game of thrones que de mettre à jour son CV, faire sa déclaration d’impôts ou encore se lancer à l’assaut d’un tas de repassage n’est-ce pas ? je ne vise personne en particulier bien sûr (encore que…) . A ce niveau, nous sommes tous des procrastinateurs

La procrastination n’a rien de dramatique en soi sauf quand elle devient une source de souffrance en générant stress, culpabilité, voire honte et sentiment d’échec quand elle va jusqu’à l’abandon de projets, et reconnaissons que ces sentiments n’ont rien de plaisant.

La procrastination vient de loin, souvent de l’enfance et comme toujours dans les troubles du comportement, les origines en sont diverses et controversées. Elle peut être liée à un excès de perfectionnisme, à de l’anxiété, à un manque de confiance en soi, à une mauvaise  perception du temps et toutes ces causes possibles génèrent de la peur : peur de mal faire, peur d’être jugé, peur de ne pas être à la hauteur, peur d’échouer.

Il ne s’agit pas de paresse, le procrastinateur peut aussi être un hyperactif qui se noie dans une multitude d’activités anodines qui lui serviront de justifications pour mieux se détourner de l’essentiel.

C’est un terrible cercle vicieux :, moins on agit et plus on culpabilise, plus l’angoisse est palpable, alors on cherche la consolation dans la distraction, et on reporte encore et on culpabilise…

Il faut rompre ce cercle vicieux et, grâce à un travail sur sa ligne du temps, se libérer enfin de la peur d’agir pour retrouver facilement et sereinement ses propres marges d’action.

“Rien n’est aussi fatiguant que de remettre perpétuellement une tâche inachevée.” – William James (psychologue américain né en 1842 et mort en 1910)

Confiance en soi? la rencontrer, la retrouver

N’avez vous pas ressenti au moins une fois dans votre vie, l’impression d’en manquer?

Attention,  le manque de confiance en soi, quand il est modéré peut être un bon moteur, pour faire bien les choses, pour en rajouter dans la recherche de l’excellence…

Mais qu’en est-il de tous ces maux qui font souffrir au quotidien : une excessive timidité, un sentiment d’infériorité, la peur du regard de l’autre, l’impression de se sentir jugé, de gêner, une paralysie face à l’action parce qu’on ne se croit pas capable, ce qui génère procrastination, frustration…

Les causes en sont multiples, l’une d’elle ramène à un autre de mes articles : les croyances limitantes

On peut aussi avoir intériorisé  de façon totalement inconsciente une émotion négative (dégout, peur, honte…), ce qui génère des inhibitions ravivées dans certains contextes.

De façon plus consciente, des échecs peuvent créer la peur de recommencer…heureusement, aujourd’hui l’échec est un peu revalorisé. Je ne peux résister à la tentation de citer cette phrase d’Oscar Wilde «il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles »

On voit bien et on sait tous que ce manque de confiance n’a rien d’objectif ni de rationnel.

Alors pourquoi ne pas s’en libérer quand elle devient un handicap personnel et social ?

Il existe en hypnose de multiple façon d’y travailler en partant de la racine du problème : ancrer des moments où à l’inverse on a ressenti la confiance, régresser jusqu’à la source du manque de confiance et apporter les modifications,  demander à notre sage intérieur l’autorisation d’avoir confiance….

En PNL, un magnifique protocole permet de rentrer dans son cercle d’excellence pour y faire une belle rencontre avec soi-même.

il n’y a pas de séance type bien sûr, c’est personnel et ça se construit, en lien avec le praticien, au cours de l’entretien.

Croyances limitantes, s’en libérer!

« Je suis nul »

 » on m’a dit un jour que je n’étais pas douée pour la musique »

 » ça ne sert à rien, de toute façon, elle n’est pas faite pour le sport »

 » mon fils, il est comme moi, je n’ai jamais été trop bon dans les études, hein mon grand? tu es comme ton papa? »

 » Dans notre famille, on n’a jamais eu de poste à responsabilités »

 » Chez nous, gagner de l’argent, ça n’a jamais été facile, ça n’est pas pour nous ça! on est des gens simples »

« il a le gros nez de son grand-père »

Je suis sûre que vous en avez aussi de ces petites phrases en apparence anodines. Parfois, elles prêtent même  à sourire.  Pourtant, dites une seule fois, ou répétées à l’envie, elles s’inscrivent durablement dans notre inconscient. Elles peuvent aussi être perçues consciemment sous forme d’émotions douloureuses.

Ces paroles, dont l’intention a pu être bienveillante, se transforment alors en arme de destruction massive et ont  un impact lourd et durable sur notre vie : inhibition face à l’action, perte de confiance, répétition d’échecs pré-programmés, sentiment d’infériorité…

Pourtant, nettoyer notre inconscient de ses croyances limitantes est tout à fait possible.

il s’agit assez simplement, à un niveau inconscient,  de déprogrammer une croyance négative et de la remplacer par une croyance positive. par exemple: « je suis nul en sport » par « j’ai toutes les aptitudes nécessaires pour m’éclater en sport et commencer un entrainement »… Plutôt simple n’est-ce pas?