Je reçois de plus en plus de personnes qui consultent pour sortir de cette prison.
L’industrie agro-alimentaire ajoute du sucre, (du sel et tant d’autres choses encore) dans à peu près tout, habituant nos papilles au goût sucré, mais surtout, créant ce besoin dans notre organisme.
Bien sûr notre corps a besoin de glucides à hauteur de la moitié de nos apports nutritionnels. Mais il ne faut pas confondre les bons et les mauvais glucides et il déteste les effets dévastateurs des sucres rapides:
- Une glycémie élevée entraine un dérèglement du pancréas pouvant aller jusqu’au diabète
- Les pics d’insuline crée la sensation de fringale et c’est un cercle vicieux pour la ligne
- Les mauvaises bactéries intestinale nourries par les sucres affaiblissent les défenses immunitaires.
- Accroissement du risque cardio vasculaire.
- Fatigue du système digestif, notamment engraissement du foie.
- Dans tout le corps, le sucre se transforme en graisse.
- Le manque génère irritabilité et stress, avec des coups de fatigues.
Notre organisme préfère de loin les bons glucides comme ceux que l’on trouve dans les fruits, les produits céréaliers mais aussi les légumineuses ou les laitages.
Une addiction, c’est quelque chose qui est plus fort que soi, du moins, c’est ce que l’on ressent quand on essaie de la contrôler. Quel que soit l’objet de l’addiction, le processus est le même, qu’il s’agisse de tabac ou de sucre, d’achat ou de jeux à gratter… et j’en passe !
D’abord on commence à y penser, à repousser l’idée, puis ça revient, et on ne pense plus qu’à ça. On négocie avec soi-même, on se dit non, on retarde le moment, puis on s’accorde une petite permission et finalement c’est la porte ouverte aux excès, on perd le contrôle.
Une sorte de récompense arrive avec le plaisir fugace de consommation, qu’il s’agisse du goût sucré qui envahit la bouche, de la bouffée de nicotine ou de la griserie liée à l’alcool, de l’excitation du grattage pour les jeux ou de l’achat d’un nouveau vêtement qui va nous rendre plus beau, plus heureux…
Puis très vite, le plaisir est remplacé par la culpabilité, le dégoût de soi, les promesses que l’on se fait de ne plus recommencer, tout en sachant à chaque fois, qu’on ne les tiendra pas, sentiment d’échec qui nuit à l’estime de soi.
C’est comme si on abritait dans notre corps une double personnalité, « l’ange » qui nous encourage à arrêter, et le « démon » qui nous en empêche.
Rassurez-vous, ces mécanismes peuvent être enrayés grâce à l’hypnose selon plusieurs axes de travail comme par exemple :
– Nettoyer les mémoires émotionnelles
– Réconcilier l’ange et le démon
– Offrir quelque chose de sain à notre besoin de récompense
– changer en profondeur les comportements…
Libérez-vous, soyez bien simplement,
Et imaginez la vie sans l’addiction, quel soulagement n’est-ce pas ?
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