
C’est la rentrée et après les grandes vacances, c’est le moment de reprendre la routine et la direction de l’école, du collège ou du lycée.
Pour certain, la rentrée est un plaisir, joie d’apprendre, enthousiasme de caler les activités dans le planning, de préparer les nouvelles affaires. Pour les adultes, ça peut être l’opportunité d’un nouveau départ.
Pour d’autre, c’est un enfer car l’idée de franchir les grilles d’un établissement scolaire déclenche un stress paralysant. On appelle ça la « phobie scolaire » mais plusieurs choses se cachent derrière cela.
Alors que la santé mentale des jeunes pose actuellement de nombreuses questions, la phobie scolaire peut être le signe d’un état dépressif, d’une grande anxiété, accompagnés mais pas forcément d’un vécu difficile (brimades, harcèlement…), elle peut téligner d’une grande sensibilité du jeune qui surréagit aux remarques des uns et des autres, d’un enseignant plus sévère. Chez les plus jeunes, l’angoisse de séparation peut être la source de cette difficulté.
Tout cela nécessite pour les enfants et les parents de bien communiquer. Il ne faut pas laisser cette phobie s’installer car le retard dans les apprentissages peut créer un cercle vicieux. Le personnel enseignant est réceptif à cette problématique répandue et facilite la réintégration.
En hypnose et/ou EMDR, le travail va permettre de neutraliser les mauvais souvenirs, les émotions négatives, de rendre l’enfant, l’adolescent plus confiant, de lui permettre de se visualiser en classe afin de mobiliser les neurones miroirs.