Hypnose et thérapies brèves

Soyez bien, simplement

Étiquette : comportement

Colère !

 Comment vivez-vous vos colères. Cela vous arrive souvent ? Cela se traduit il par des excès que vous regrettez ensuite ? Faites attention à ne pas laissez pas ces excès devenir irrémédiables.

Nous avons le droit d’être en colère. Quand nous sommes confrontés à une injustice, à une humiliation, à une agression au sens large du terme.  Cependant, la maitriser est un art que tout le monde peut apprendre et qui évite bien des déboires.

En effet c’est une émotion qui peut-être très perturbatrice tant elle donne l’impression qu’on n’est plus soi-même. Mais qui sommes-nous alors ?  Elle nous fait découvrir nos zones d’ombre, elle s’associe à une grande énergie et alors l’inconscient s’exprime parfois dans toute sa violence habituellement refoulée.

Je reçois régulièrement des parents aimants qui culpabilisent car ils ne passent pas leur colère sur les bonnes personnes. Un conflit au bureau, mal exprimé, pas réglé et ce sont les enfants, ou le compagnon de vie qui, le soir à la maison en font les frais. Lors d’un moment de grande fatigue psychique , une petite impatience se transforme en violence verbale… Dans ce cas, c’est une  colère intériorisée qui  métamorphose un être pacifique en bombe ambulante.

Quand l’animal est confronté à l’adversité, agression ou prédation, ils n’a que très peu d’alternative : la plus connue est la réponse « combat-fuite », théorisée en 1929 par un psychologue américain, d’où la dénomination anglo-saxonne souvent utilisée :  « fly or fight »

L’humain est capable de développer d’autres alternatives , comme l’apprentissage du contrôle de soi, le lâcher-prise , l’introspection. On pourrait encore rajouter la socialisation : c’est-à-dire le fait d’échanger, de communiquer.

Une colère peut être ponctuelle, les causes en sont identifiées, ou permanente, quand elle fait suite à des traumatismes par exemple.  

Elle se mesure aussi par son intensité, de l’impatience à la rage destructrice.

Si la colère est une émotion légitime qui a le droit d’exister, il importe cependant de la canaliser.

Un travail sur soi est nécessaire pour en identifier les déclencheurs, à travers l’analyse des colère passées et présentes, les ressentis provoqués par ces déclencheurs. Les conscientiser, et  prendre du recul. Il faut parfois renforcer son estime de soi et sa confiance pour devenir capable d’ exprimer les non-dits au bon moment. Un travail sur l’apaisement du corps, la temporisation par  des techniques psychocorporelles peut être nécessaire. En résumé, la personne colérique doit reprendre la main non seulement  pour son confort et son bien-être, mais aussi pour les personnes qui l’entourent.  

ADDICTION AU SUCRE

Je reçois de plus en plus de personnes qui consultent pour sortir de cette prison.

 L’industrie agro-alimentaire ajoute du sucre, (du sel et tant d’autres choses encore) dans à peu près tout, habituant nos papilles au goût sucré, mais surtout, créant ce besoin dans notre organisme.

Bien sûr notre corps a besoin de glucides à hauteur de la moitié de nos apports nutritionnels. Mais il ne faut pas confondre les bons et les mauvais glucides et il déteste les effets dévastateurs des sucres rapides:

  • Une glycémie élevée entraine un dérèglement du pancréas pouvant aller jusqu’au diabète
  • Les pics d’insuline crée la sensation de fringale et c’est un cercle vicieux pour la ligne
  • Les mauvaises bactéries intestinale nourries par les sucres affaiblissent les défenses immunitaires.
  • Accroissement du risque cardio vasculaire.
  • Fatigue du système digestif, notamment engraissement du foie.
  • Dans tout le corps, le sucre se transforme en graisse.
  • Le manque génère irritabilité et stress, avec des coups de fatigues.

Notre organisme préfère de loin les bons glucides comme ceux que l’on trouve dans les fruits, les produits céréaliers mais aussi les légumineuses ou les laitages.

Une addiction, c’est quelque chose qui est plus fort que soi, du moins, c’est ce que l’on ressent quand on essaie de la contrôler. Quel que soit l’objet de l’addiction, le processus est le même, qu’il s’agisse de tabac ou de sucre, d’achat ou de jeux à gratter… et j’en passe !

D’abord on commence à y penser, à repousser l’idée, puis ça revient, et on ne pense plus qu’à ça. On négocie avec soi-même, on se dit non, on retarde le moment, puis on s’accorde une petite permission et finalement c’est la porte ouverte aux excès, on perd le contrôle.

Une sorte de récompense arrive avec le plaisir fugace de consommation, qu’il s’agisse du goût sucré qui envahit la bouche, de la bouffée de nicotine ou de la griserie liée à l’alcool, de l’excitation du grattage pour les jeux ou de l’achat d’un nouveau vêtement qui va nous rendre plus beau, plus heureux…

Puis très vite, le plaisir est remplacé par  la culpabilité, le dégoût de soi, les promesses que l’on se fait de ne plus recommencer, tout en sachant à chaque fois, qu’on ne les tiendra pas, sentiment d’échec qui nuit à l’estime de soi.

C’est comme si on abritait dans notre corps une double personnalité, « l’ange » qui nous encourage à arrêter, et le « démon » qui nous en empêche.

Rassurez-vous, ces mécanismes peuvent être enrayés grâce à l’hypnose selon plusieurs axes de travail comme par exemple :

– Nettoyer les mémoires émotionnelles

– Réconcilier l’ange et le démon

– Offrir quelque chose de sain à notre besoin de récompense

– changer en profondeur les comportements…

Libérez-vous, soyez bien simplement,

Et imaginez la vie sans l’addiction, quel soulagement n’est-ce pas ?

Mincir

Depuis longtemps, vous pratiquez l’alternance:

  • Bonnes résolutions/contrôle/régime/ perte de poids
  • Fin de la période des bonnes résolutions/relâchement/ prise de poids/culpabilité/découragement

Puis de nouveau, bonnes résolutions… . Je vous fais grâce de la suite, vous la connaissez par cœur.

Peut-être que conscient de ce phénomène, vous avez carrément abandonné tout espoir de perdre du poids, et les kilos continuent à s’accumuler.

L’embonpoint plus ou moins important, n’est pas forcément un problème ; il peut même parfois, constituer une protection inconsciente vis-à-vis du monde qui nous entoure…. Se conformer à une « norme » véhiculée par le monde de la mode ne saurait être un objectif.

Mais s’il devient gênant pour vous, pour des raisons de santé, de bien-être, alors il faut agir pour réguler son alimentation, gérer la frustration, déplacer ses compulsions, ré-équilibrer son métabolisme:

Modifier son rapport à l’alimentation qui n’est ni un ange ni un démon.

N’hésitez plus, osez l’hypnose pour vous aider à modifier en douceur et dans le respect de votre corps, vos comportements alimentaires, pour retrouver une relation normale, naturelle et apaisée au simple fait de se nourrir.